Les sneakers Nike sont partout, aux pieds de tous, sans distinction d’âge ni de sexe. En outre, elles sont incontournables, et ce depuis longtemps. Plus exactement depuis la popularisation de la NBA, aux Etats-Unis puis à l’international, et la signature des partenariats à la fois historiques et majeurs entre des marques de sports telles que Nike et des athlètes devenus pour la plupart légendaires. Michael Jordan, par exemple. Dire que le phénomène sneakers a débuté dans les années 1980 serait donc un doux euphémisme. Mais au fait, qu’est-ce qu’une paire de sneakers ? Voilà l’une des nombreuses questions auxquelles nous avons voulu répondre dans ce guide consacré aux baskets de la marque à la virgule.

Si le phénomène est né, comme nous venons de le voir, dans les années 1980, le terme « sneakers », lui, est beaucoup plus ancien. Il puise ses racines dans le verbe anglais « to sneak » qui signifie littéralement en français « se faufiler ». Les origines de son utilisation courante remontent à la fin du 19^e siècle, ce qui coïncide avec la création des premières chaussures équipées d’une semelle en caoutchouc. Voilà ce que sont les sneakers, en tout cas d’un point de vue strictement étymologique. En réalité, elles font davantage référence à des chaussures initialement conçues pour la pratique sportive dont l’usage s’est progressivement étendu en ville, parfois de manière exclusive, dans un environnement lifestyle.

La différence entre les sneakers et les baskets est très subtile. Elle repose dans cet environnement. Lifestyle uniquement pour les premières, alors que les secondes peuvent jouer sur les deux tableaux, c’est-à-dire en ville comme sur les terrains de sport et les pistes de course. Voilà pourquoi nous pouvons nous permettre d’utiliser les deux termes sur Kikikickz.

En partant du constat établi précédemment, nous ne le recommandons pas.

Les sneakers Nike n’ont pas/plus une vocation de performance, contrairement aux baskets destinées à la pratique, et ce malgré leur confort.

Ce n’est pas pour rien si plus aucun basketteur professionnel ne joue avec des Air Force 1. De même, les coureurs ont troqué les Air Max contre des chaussures de course plus évoluées il y a longtemps.

Les baskets Nike les plus populaires d’aujourd’hui ne sont pas forcément les mêmes qu’hier.

Mais certains modèles suscitent toujours autant d’engouement qu’à leur lancement. Ils sont assurément intemporels et semblent indémodables.

C’est le cas tout d’abord de la Air Force 1. Créée en 1982 par le designer Bruce Kilgore, la silhouette doit son nom à l’avion présidentiel américain. Un baptême symbolique puisque cette dernière avait vocation à aider les joueurs de basketball de l’époque à voler pour atteindre les sommets. Pour cela, Kilgore misa sur une épaisse semelle, évidemment en caoutchouc, dans laquelle il dissimula un coussin d’air sous le talon. La AF-1 a failli disparaître définitivement deux ans seulement après son lancement, pourtant couronné de succès. Elle a finalement été réintroduite en 1986 et n’a alors plus jamais quitté le catalogue de Nike. Pour approfondir vos connaissances sur le sujet, nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir l’histoire de la Air Force 1 sur Kikikickz.

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Peut-on parler aujourd’hui de baskets Nike sans ne serait-ce qu’évoquer la Dunk, et plus encore sa version basse, la Dunk Low ? La sneaker culte de Peter Moore, qui est aussi le créateur de la mythique Air Jordan 1, a amorcé son incroyable retour en force sur le marché il y a deux ans. Chez Kikikickz, nous nous accordons à penser que ce retour voulu par la firme de Beaverton a été initié par la sortie au mois de février 2020 de la SB Dunk Low signée Travis Scott. Dans la foulée, les designers de Nike ont pris le relais pour concevoir des déclinaisons aussi simples qu’efficaces de la lowtop, à l’image de la Dunk Low ‘’White/Black’’, aka ‘’Panda’’.

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La dynastie Air Max remonte à 1987 et la conception de la Air Max 1 par Tinker Hatfield. Appelé au chevet de Nike pour maintenir l’équipementier en course sur le marché du running, ce dernier a eu l’idée révolutionnaire de rendre visible la technologie Nike Air en s’inspirant de l’architecture vitrée du Centre Pompidou, à Paris. La Air Max n’est pas qu’une simple chaussure de course ! C’est un projet consistant à exploiter à son paroxysme le célèbre système d’amorti à base de gaz comprimé inventé par Frank Rudy. Hatfield et ses successeurs se sont ainsi attelés à lui accorder toujours plus d’importance, au fil d’itérations toujours plus modernes et abouties.

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Sur Kikikickz, vous pouvez retrouver tout au long de l’année un grand choix de baskets Nike dites « rares ». Il s’agit de sneakers en édition limitée, en ce sens qu’elles sont généralement produites en très peu d’exemplaires, d’autant plus par rapport à la demande souvent nettement plus élevée, et qu’elles sont en rupture de stock chez les distributeurs traditionnels, y compris sur le site officiel de la marque et ses magasins. Cela a naturellement un impact sur les prix. Sur la boutique, les tarifs affichés sont supérieurs à ceux pratiqués lors du lancement des paires. C’est une conséquence du rapport déséquilibré entre l’offre et la demande, mais aussi du processus de sourcing, d’authentification et de conditionnement des produits. Un processus auquel nous attachons la plus grande importance.

Parmi toutes ces sneakers Nike limitées disponibles sur la boutique, les collaborations occupent une place centrale. Elles permettent au géant américain du sportswear de répondre efficacement au besoin de nouveautés de ses fans tout en insufflant un vent de fraîcheur sur son catalogue.

Nike a commencé très tôt à travailler main dans la main avec des athlètes, des artistes influents et des maisons de mode reconnues. Son partenariat avec Michael Jordan a par exemple été conclu en 1984, à la veille de la première saison professionnelle du joueur avec les Chicago Bulls. Les années 2000 ont vu naître un autre type de collaborations, résolument lifestyle, avec des labels très appréciés par les amateurs de mode streetwear. On pense tout d’abord à Supreme, avec qui Nike entretient une histoire créative prolifique depuis 2002, et à Patta, depuis 2006. L’artiste hollandais Parra a investi quant à lui les ateliers de création de Nike pour la première fois en 2005.

Plus récemment, le regretté Virgil Abloh et ses équipes d’Off-White ont fait franchir un nouveau cap aux collaborations de Nike. Avec la collection The Ten et la multitude d’autres paires qui a suivi, ils ont par ailleurs ouvert la voie à une nouvelle génération de designers issus d’horizons divers et variés. C’est le cas de Travis Scott ou encore de G-Dragon, le roi coréen de la K-Pop. Impossible de ne pas citer également Chitose Abe et son label Sacai, de même qu’Undercover et Fragment. Tous les trois sont nés au Japon, un pays réputé pour son approche technique et fonctionnel du streetwear où Nike a pu définitivement s’imposer au début des années 2000 par le biais de ces partenariats.

Le succès démesuré des collaborations, et plus globalement des éditions limitées, n’impacte pas seulement le prix des paires. Il pousse aussi malheureusement des acteurs peu scrupuleux à développer massivement le marché de la contrefaçon. Les fausses paires déferlent de plus en plus sur le sneakers game, telle une vague difficile à contrer.

Kikikickz s’est donc entouré d’experts en authentification. Ces connaisseurs passionnés sont capables de reconnaître les fausses sneakers Nike en examinant scrupuleusement des dizaines de points de contrôle parfois propres à chaque modèle. Qualité des matériaux, disposition des empiècements et des spécificités techniques et visuelles, couleurs, coutures, surpiqûres sans oublier l’odeur des colles… Tout est soigneusement passé au crible lors d’un examen impliquant pas moins de 3 sens : la vue, le toucher et l’odorat. Quand vous achetez une paire de baskets Nike sur Kikikickz, vous êtes ainsi certain de recevoir un exemplaire 100% neuf et authentique dans son emballage d’origine.

Les baskets et les sneakers Nike ont tendance à tailler petit. Il est recommandé, pour la plupart des modèles estampillés du Swoosh, d’opter pour une demi-pointure de plus que votre pointure habituelle. Voire une pointure entière si vous avez l’habitude de porter des chaussettes épaisses et/ou de marcher beaucoup.

Le premier réflexe à adopter pour savoir quelle pointure choisir est de mesurer votre pied, à l’aide d’un pédimètre, puis de vous référer à notre guide des tailles Nike. Vous y retrouverez un tableau listant l’ensemble des pointures françaises et européennes pour homme et femme avec leurs correspondances américaines. Nous veillons en parallèle à spécifier pour chaque paire comment taille celle-ci, avec des indications précises de pointure. Attention, cela n’écarte pas totalement le risque d’erreur. C’est pourquoi les retours sont possibles pendant 14 jours sur toute la boutique.

Nike a compris il y a longtemps que les femmes sont aussi intéressées par les sneakers que les hommes, notamment parce qu’elles sont chaque jour un peu plus sujettes à en porter quotidiennement. Ses équipes leur dédient ainsi régulièrement des nouvelles déclinaisons de leurs classiques et même des modèles à part entière, à l’image de la Air Force 1 Shadow et de la Dunk Low Disrupt. Ces baskets sont proposées dans un sizing WMNS, c’est-à-dire ‘’women only’’ dans le jargon de Nike. Pour autant, elles peuvent aussi convenir parfaitement aux hommes. Messieurs, si vous avez une telle paire en vue, sachez qu’il vous faudra ajouter, au minimum, une pointure et demie à votre pointure WMNS équivalente pour vous assurer de faire le bon choix. Par exemple, si vous chaussez habituellement du 43EU en homme, il vous faudra opter pour du 44,5EU en version WMNS. A bon entendeur.

Au-delà de la pointure, le style d’une paire de sneakers a son importance. Or, chez Nike, qui dit style, dit inspiration sportive. La grande majorité des best-sellers de la marque au Swoosh est effectivement issue du monde du sport, avec deux disciplines phares : la course à pied et le basketball. Si les sneakers d’inspiration running font ce qu’on appelle communément des petits pieds, du fait de leur ligne fine et élancée plus propice à la pratique de la course, les modèles dits « b-ball » pourront créer l’effet inverse. Cela résulte de leur design d’autant plus imposant lorsqu’il est décliné en version haute ou mi-haute.

Afin de répondre aux besoins, aux attentes et aux préférences de jeu de tous les basketteurs, Nike a pris l’habitude de décliner certains de ses modèles « b-ball » dans plusieurs coupes. Des modèles tels que la Air Force 1 pour laquelle l’habitude a été conservée après le passage de cette dernière des terrains de basketball vers la rue. La AF-1 peut être munie d’une tige ‘’Low’’ (basse), ‘’Mid’’ (mi-haute) ou ‘’High’’ (haute). Idem pour la Blazer et surtout la Dunk. Si les sneakers Nike basses sont indiscutablement les plus populaires, leurs alternatives hautes et mi-hautes ne sont pas moins tendances ni confortables. Tout est une question de goût, comme pour les couleurs. A noter que les joueurs seront davantage enclins à arborer les baskets montantes à la ville parce qu’ils sont habitués à avoir la malléole soutenue.